• Les paroles de cette chanson... 

    Tes émotions qui montent trop vite 
    Les sensations retombent trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Les sentiments classés sans suite 
    Le parfum qui t'enivre trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Des larmes, des larmes, des larmes, des larmes 
    Roulent sur tes joues 
    Tu ne sais pas pourquoi tu pleures 
    T'as l'impression qu'on t'ignore 
    Quitter la fête avant la fin
    Claquer la porte avec fracas 
    On ne s'inquiétera pas pour toi 
    Tu fais ça deux fois sur trois 
    Tes émotions qui montent trop vite 
    Les sensations retombent trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Les sentiments classés sans suite 
    Le parfum qui t'enivre trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Tes émotions qui montent trop vite 
    Les sensations retombent trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Les sentiments classés sans suite 
    Le parfum qui t'enivre trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey
    Sans blague, sans blague, sans blague sans blague 
    Dis, à quoi tu joues? (Dis, à quoi tu joues?)
    Tu vas abîmer ton cœur 
    À trop vivre plus fort que tout 
    Hypersensible et sauvage 
    Dans ta tête comme dans une cage 
    T'as tellement besoin qu'on t'aime 
    Que t'oublies de t'aimer toi-même 
    Tes émotions qui montent trop vite 
    Les sensations retombent trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Les sentiments classés sans suite 
    Le parfum qui t'enivre trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey
    Tes émotions qui montent trop vite 
    Les sensations retombent trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey 
    Les sentiments classés sans suite 
    Le parfum qui t'enivre trop vite 
    Passer du rire aux larmes si vite
    Hey hey
    T'as tellement besoin qu'on t'aime, hey hey 
    Hey hey
    T'as tellement besoin qu'on t'aime, hey hey (hey)
    T'as tellement besoin qu'on t'aime, hey hey 
    T'as tellement besoin qu'on t'aime, hey hey 
    T'as tellement besoin qu'on t'aime 
    Que t'oublies de t'aimer toi-même (t'oublies de t'aimer toi-même)
     
    IZÏA 

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  • Les paroles de cette chanson me touchent infiniment... ♥️

    Here's to the ones that we got

    Cheers to the wish you were here, but you're not
    'Cause the drinks bring back all the memories
    Of everything we've been through
    Toast to the ones here today
    Toast to the ones that we lost on the way
    'Cause the drinks bring back all the memories
    And the memories bring back, memories bring back you
    There's a time that I remember, when I did not know no pain
    When I believed in forever, and everything would stay the same
    Now my heart feel like December when somebody say your name
    'Cause I can't reach out to call you, but I know I will one day, yeah
    Everybody hurts sometimes
    Everybody hurts someday, ayy ayy
    But everything gon' be alright
    Go and raise a glass and say, ayy
    Here's to the ones that we got
    Cheers to the wish you were here, but you're not
    'Cause the drinks bring back all the memories
    Of everything we've been through
    Toast to the ones here today
    Toast to the ones that we lost on the way
    'Cause the drinks bring back all the memories
    And the memories bring back, memories bring back you
    Doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo
    Memories bring back, memories bring back you
    There's a time that I remember when I never felt so lost
    When I felt all of the hatred was too powerful to stop (ooh, yeah)
    Now my heart feel like an ember and it's lighting up the dark
    I'll carry these torches for ya that you know I'll never drop, yeah
    Everybody hurts sometimes
    Everybody hurts someday, ayy ayy
    But everything gon' be alright
    Go and raise a glass and say, ayy
    Here's to the ones that we got (oh)
    Cheers to the wish you were here, but you're not
    'Cause the drinks bring back all the memories
    Of everything we've been through (no, no)
    Toast to the ones here today (ayy)
    Toast to the ones that we lost on the way
    'Cause the drinks bring back all the memories (ayy)
    And the memories bring back, memories bring back you
    Doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo
    Memories bring back, memories bring back you
    Doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo doo
    Doo doo doo doo, doo doo doo (ooh, yeah)
    Memories bring back, memories bring back you
    Yeah, yeah, yeah
    Yeah, yeah, yeah, yeah, yeah, doh, doh
    Memories bring back, memories bring back you 

     

     

     

     


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  • "J'ai lâché le téléphone comme ça
    En ce beau matin d'automne pas froid
    Ça ressemblait à l'été sauf que tu n'y étais pas
    Puis j'ai regardé le ciel d'en bas
    Indécis, voulais-je y monter ou pas ?
    Mais savais que j'étais fait, que j'étais fait comme un rat
     
    Comment est ta peine ?
    La mienne est comme ça
    Faut pas qu'on s'entraîne
    À toucher le bas
    Il faudrait qu'on apprenne
    À vivre avec ça
    Comment est ta peine ?
    La mienne s'en vient, s'en va
    S'en vient, s'en va
     
    J'ai posé le téléphone comme ça
    J'peux jurer avoir entendu le glas
    J'aurais dû te libérer avant que tu me libères, moi
    J'ai fait le bilan carbone trois fois
    Tu parlais de ta daronne sur un ton qu'tu n'aimerais pas
    Tu ne le sauras jamais car tu ne l'écoutes pas
     
    Comment est ta peine ?
    La mienne est comme ça
    Faut pas qu'on s'entraîne
    À toucher le bas
    Il faudrait qu'on apprenne
    À vivre avec ça
    Comment est ta peine  ?
    La mienne s'en vient, s'en va
    La mienne s'en vient, s'en va
     
    Dis, comment sont tes nuits
    Et combien as-tu gardé de nos amis ?
    Comment est ta peine ?
    Est-ce qu'elle te susurre de voler de nuit ?
    Comment va ta vie ?
    Comment va ta vie ?
    La mienne comme ça comme ci
     
    Comment est ta peine ?
    La mienne est comme ça
    Faut pas qu'on s'entraîne
    À toucher le bas
    Il faudrait qu'on apprenne
    À vivre avec ça
    Comment est ma peine ?
    La mienne s'en vient, s'en va
    S'en vient, s'en va, s'en vient, s'en va."
     
    Benjamin Biolay

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  • J'aime...

    Lettre infinie

    Sur l'envers de l'enveloppe est inscrit
    Tout en bas écrit en tout petit (majuscules voyelles et discrètes)
    J'ai fait une drôle de tête un drôle de soupir
    En la retournant de l'autre côté
    Un nouveau message à décrypter (mets-lui des ailes c'est une déesse)
    À cet instant fébrile j'ai ouvert et c'est là que j'ai découvert Est-ce l'être infini qui me l'écrit
    La lettre infinie que je relis ? (Lettre infinie, infinie)
    Infiniment et pour la vie
    À l'être infini que je suis (lettre infinie)
    (Lettre infinie, infinie)
    C'est bien parce que ta bouche a une fausse note
    Que c'est la perfection divine (lettre infinie, infinie)
    Pourquoi dans l'art c'est toujours quand ça frotte
    Quand ça trébuche que l'on s'incline (lettre infinie, infinie)
    Voilà soudain à quoi j'ai pensé
    Devant cette lettre immaculée
    Est-ce l'être infini qui me l'écrit
    La lettre infinie que je relis ? (Lettre infinie, infinie)
    Infiniment et pour la vie
    À l'être infini que je suis (lettre infinie)
    Une lettre dans la lettre en quelque sorte (lettre infinie, infinie)
    Une page blanche avec au beau milieu un simple M
    Une simple lettre celle de l'amour avec des ailes (lettre infinie)
    Sans un mot tout est dit infiniment et pour la vie
    (Lettre infinie, infinie)
    (Lettre infinie)
    Est-ce l'être infini qui me l'écrit
    La lettre infinie que je relis ? (Lettre infinie, infinie)
    Infiniment et pour la vie
    À l'être infini que je suis
    Je t'aime à l'infini
     
    M
     
     

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  • Auto contrainte : photo diabolo menthe (Grasse, juillet 2018)

    Diabolo menthe

    Quand je bois un diabolo menthe, bien frais, bien sucré, je songe tout de suite à la chanson d’Yves Simon. Au film aussi bien évidemment, que j’ai tant aimé. Mais pour moi le diabolo menthe c’est Yves Simon, et petite Anne.

    Ça fait longtemps que je l’aime, ce cher Yves. Ça a commencé adolescente. Une de mes tantes m’avait fait écouter un de ses albums. J’ai aimé ses textes, tout de suite. Puis je me suis procuré les autres albums sur cassettes. Je connaissais les paroles par cœur.

    J’ai commencé à lire ses romans. « L’amour dans l’âme » m’a marquée, enchantée. Mais c’est surtout « Océans » qui restera dans ma mémoire. Si beau, si bouleversant.

    Vers seize dix-sept ans j’ai commencé à lui écrire. De longues lettres, auxquelles il répondait. Groupie heureuse. Il m’envoyait des cartes postales du Japon, pays qu’il idolâtre. Était illisible mais me faisait du bien, dans mon adolescence oppressée et étouffante. Parfois des lettres plus longues. Je lui ai même un jour adressé un de mes journal intime. Qu’il a reçu comme un beau cadeau. De la lumière dans ma vie de (très) jeune femme.

    Quand je suis venue vivre à Paris à 20 ans, je suis allée au salon du livre de la Porte de Versailles uniquement pour le rencontrer. Ce fut beau. Un homme qui vous comprend et vous reconnaît, alors qu’il ne vous a jamais vu. Nous n’avons alors pas eu besoin de beaucoup de paroles.

    Il ne chante plus maintenant. Les gens font des reprises. Je l’aime toujours autant. Vieille midinette ! Et lorsque je m’attable à une terrasse l’été, comme ici à Grasse en juillet dernier, je commande un diabolo menthe et je pense à Yves Simon.

    Dorothée (21 septembre 2018)

    Oulimots, partie 25 (samedi 22 septembre 2018)


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